Témoignages - anglais

I have always loved the English language, and becoming perfectly bilingual would be an asset in my career and daily life

Portrait d'Eric Morales avec une médaille au cou.

The English certificate has come at the perfect time in my academic journey. A few years ago, I started a Kinesiology degree at UQAM. However, due to the demanding nature of my hockey coaching career, it became challenging to continue the Kinesiology program full-time with my intense schedule. I decided to postpone my degree to pursue my coaching career, hoping to return to university in the future with a program that could fit my hockey schedule.

During my coaching career, I was fortunate to coach at some elite levels, including the Montreal women’s professional hockey team, the Hockey Quebec Provincial programs (U14, U15, U16, QMJHL Challenge), and the Junior AAA level with the Longueuil Collège Français hockey club, where I held both Head Coach and General Manager positions. Evolving and advancing in the hockey business can be challenging for a young coach, requiring significant sacrifices to earn the respect of peers. My three-year tenure with the Longueuil Collège Français organization gave me the opportunity to become well-known in the hockey world. We had successful seasons, culminating in a league championship in 2022. During this period, we also navigated the challenges posed by the Covid-19 pandemic, which was a complex situation for the sports industry.

Pursuing my academic career has always been a dream of mine. It was important for me to have a Plan B, and after some research, I found the English certificate program, which seemed very interesting. I have always loved the English language, and becoming perfectly bilingual would be an asset in my career and daily life. I started my first class of the certificate during the summer semester of 2021, and now, three years later, I am graduating with my diploma in June 2024.

The English certificate personnel was crucial to my academic success. I am very thankful to Suzanne Springer (Director of the program) for helping me balance my classes with my professional schedule. She was always supportive of my dream of graduating from university, and her support during challenging times was extremely motivating and helpful. I would also like to thank all my professors throughout this journey. While I didn't often ask for accommodations, when I did, they were all very understanding of my reality.

Following my championship with the Longueuil Collège Français Junior AAA organization in May 2022, I have been coaching in the QMJHL for the past two seasons (2022-2023, 2023-2024). I was also selected for the Team Canada U17 program, where I won a gold medal at the World Championship in November 2023.

Despite my dream of reaching the professional hockey world, my biggest dream was to become a university graduate, securing myself with a Plan B in case Plan A doesn’t work out. Completing the English certificate is one of my biggest accomplishments, and I am very proud of it. It will enable me to apply for U SPORTS coaching positions, which offer great life stability if a professional hockey career is not possible.

I would recommend the program to anyone who believes it is important to push their limits while acquiring new language skills that can help achieve personal objectives. My situation is a great example of how it’s possible to align and succeed in school while maintaining a professional career.

Thank you to the UQAM English Certificate department for supporting me during this amazing journey. I will leave you with this quote that helped me reach where I am today:

“A dream without a plan is only a dream, but a dream with a plan will become reality.” - Brian Tracy

Marco-Eric Morales-Bouchard (certificat en anglais, 2024)

Portrait d'Eric Morales lors d'un match de hockey.
Portrait d'Eric Morales sur une patinoire jouant au hockey
Portrait d'Eric Morales avec une équipe de hockey.

J'en suis venue à apprécier la beauté de la langue comme moyen de comprendre la culture

Portrait de Lily Chang.

En 2018, de retour sur les bancs d’école après une pause de près de deux ans, je me suis inscrite au nouveau programme de l'École de langues: la majeure en langues et cultures modernes. Je souhaitais étudier deux langues. L'anglais, mon talon d'Achille, était sans aucun doute mon premier choix, mais j'étais intérieurement en conflit quant au second.

Ayant complété ma dernière année de secondaire au Québec, je ne pouvais prendre de cours de francisation, malgré mon apparence d’immigrée. Mon image asiatique m'aurait permis de choisir l'espagnol, mais en trahissant mon intégrité, puisque j'ai vécu mon adolescence en Argentine. Il en va de même pour le mandarin, qui est la langue nationale de Taïwan, d’où je suis originaire. Bien que je sois une enfant d'immigrés, je n'ai pas oublié cette langue, l'une de mes deux langues maternelles (le mandarin et le taïwanais).

Comme l'École n'offrait pas de coréen, une langue que je souhaitais apprendre à des fins d'échanges culturels depuis mon adolescence, finalement, je me suis inscrite dans la majeure en anglais et culture anglophone. Mon choix final n’était pas évident, mais il était plein de surprises.

Dès mes débuts à l'École de langues, j'ai été impressionnée par la qualité de l'enseignement dispensé à la majeure. Tous les professeurs étaient hautement qualifiés et expérimentés dans l'enseignement des langues, et étaient des experts passionnés par leur domaine, comblant le fossé entre la langue et la culture. Que ce soit par la lecture, la réflexion, les présentations orales, les forums d’écriture ou des méthodes d’enseignement interactives et innovantes, j'ai amélioré mes capacités d'écoute, d'expression orale, ainsi que mes compétences en matière d’écriture. J'en suis venue à apprécier la beauté de la langue comme moyen de comprendre la culture, qui à son tour donne vie à la langue. Cette merveilleuse connexion m’a émerveillée et m'a incitée à persévérer à apprendre l'anglais. À ma grande surprise, j'ai réussi ma majeure avec de très bonnes notes!

À tous mes professeurs, même un millier de mercis ne suffirait pas à exprimer ma gratitude pour votre compagnie et votre soutien tout au long de mon parcours. Grâce à vous tous, j'ai trouvé la motivation pour compléter certains cours de la mineure en linguistique et j'ai été admise à la maîtrise en linguistique. En tant qu'étudiante non traditionnelle, je ne pensais pas qu’il était possible d'atteindre cet objectif alors que j'avais interrompu mes études en linguistique avant de m’inscrire à l’École de langues.

Jaime Demperio et Martyna Kozlowska, je tiens particulièrement à vous remercier de m'avoir aidée à me découvrir, à m’accepter et à être moi-même à travers votre projet de recherche CLIC, qui pour moi représente une famille et qui me donne un sentiment d'appartenance et de stabilité pour grandir. The CLIC Project est, en effet, un projet inclusif sur la culture, la langue, l'identité et la communauté, connectant des personnes d'horizons différents pour exprimer leur voix et leur authenticité tout en pratiquant l’anglais!

Je suis reconnaissante à l'École de Langues de m’avoir donné la confiance et le courage d'arriver là où je suis aujourd'hui. À ce stade du chemin, je ne sais pas ce que me réserve la prochaine étape, mais je sais que la chance m'a guidée jusqu'à présent pour que je sois entre de bonnes mains.

Apprendre l'anglais m'a non seulement permis de me découvrir, mais aussi d’explorer le monde avec des personnes de cultures différentes. C'est formidable que la langue puisse unir les gens et les aider à comprendre les différences pour mieux apprécier les cultures.

Grâce à l'École de langues, you can at UQAM!

Lily Chang (majeure en anglais et culture anglophone, juin 2022, mineure en linguistique, juin 2023)

Captivée par la Chine et le Japon

Portrait de Wanthida Voraboud-Lecours portant le t-shirt des Citadins de l'UQAM

Depuis le secondaire, mon cheminement scolaire avait toujours été orienté vers les sciences, vers la santé. J’avais entamé des cours au baccalauréat en sciences infirmières à l’Université Sherbrooke, au campus de Longueuil. Après avoir fait la moitié du baccalauréat, j’ai senti que je n’étais pas à ma place; que j’avais besoin de changer d’air, comme on dit. De plus, à ce campus, il n’y avait pas d’accès au sport étudiant. J’avais une amie dans les Citadins de l’UQAM et elle m’en a beaucoup parlé en bien. C’est donc à la base le programme de cheerleading qui m’a poussée vers l’UQAM. Puis, j’ai commencé à regarder les programmes à l’UQAM; des programmes qui n’avaient aucun lien avec les sciences, la santé. Étant née au Laos, un pays juste en dessous de la Chine, j’ai eu l’envie de retrouver mes racines asiatiques et de démystifier la Chine et le Japon, deux pays très influents sur la scène internationale, mais aussi très méconnus. J’avais envie d’apprendre une autre langue, d’apprendre sur une autre culture, de sortir de ma zone de confort, d’ouvrir mes horizons, d’être en contact avec des notions moins «factuelles» mais plutôt culturelles. C’est lorsque j’ai vu qu’il y avait une possibilité de faire des études en Chine que j’ai officiellement appliqué pour le programme.

Au tout début, je faisais le programme pour accéder à la bourse pour étudier en Chine. Dès la première session, j’ai vite réalisé que j’étais totalement captivée par la Chine et le Japon. Ces pays étaient de loin ce que je croyais qu’ils étaient. Dès la première session, j’ai pu entrer en contact avec du personnel originaire de ces pays. D’excellents professeurs, soucieux de la réussite de leurs étudiants, très compétents et très intéressants. Dès la première session, Min Sun et Sachiyo Kanzaki m’ont grandement épaulée dans mon parcours particulier. Combiner sport étudiant et cours de langues fût laborieux. Ma coordinatrice de programme Juliane Bertrand fût d’une grande aide aussi. Ce sentiment d’être supportée a énormément contribuée à mon bien-être au sein du programme de langues et à vouloir persévérer. En me concentrant sur la Chine et le Japon, j’ai pu aussi apprendre sur leur histoire, leur politique et leur culture par l’entremise d’autres enseignants spécialistes et fascinants. Au fil des sessions, j’ai réussi à démystifier ces deux pays et je me suis fait un devoir de partager mes connaissances avec les autres. J’ai vraiment grandi. Je me sens plus connectée au monde, plus ouverte aux autres. De plus, je peux dire que je suis fière d’avoir acquis des compétences dans ces deux langues, qui sont totalement étrangères, voire impossible à cerner pour la plupart. Pour ce qui est de l’anglais, j’avais envie d’approfondir mes connaissances. Avec mes cours d’anglais, bien que je me considère très fluide dans cette langue, j’ai pu me défaire de plusieurs faux plis, j’ai pu décortiquer des fautes langagières provenant d’anglophones même, j’ai pu acquérir de la confiance lorsque je parle anglais au point d’en faire des exposés. Si on croit connaître parfaitement une langue, alors on a complètement tort! Il y a toujours quelque chose à apprendre de la langue.

Ce qui m’a beaucoup motivée, c’était une bourse pour étudier en Chine. Une bourse qui couvre toute la scolarité et l’hébergement dans un programme de notre choix. Je me visualisais étudier à l’étranger en train de vivre des aventures que je n’aurais jamais pu imaginer auparavant. À ma première session j’étais donc très assidue à mes cours, je voulais tout simplement donner mon 100%. À la fin de la session, j’ai pu terminer avec une moyenne de 4.23/4.30 avec 4 cours et 10h par semaine de cheerleading avec les Citadins, sans oublier mon travail à temps partiel. J’ai vu que j’avais les capacités de performer académiquement et athlétiquement, ce qui m’a encore plus donné l’envie de me surpasser. En 2019-2020, j’étais la meilleure étudiante-athlète du Club des Citadins. Avec une telle performance, j’ai pu me permettre d’envisager un autre rêve; celui d’être médecin. Puisque la santé a toujours été très importante pour moi, j’avais envie d’y retourner et de voir si je pouvais accomplir quelque chose. Ce qui m’amène à maintenant, à l’hiver 2021, alors que je termine enfin mon baccalauréat. Je passe bientôt mes entrevues de médecine à McGill et j’envoie mes formulaires d’inscription à la bourse en Chine auprès du Consulat chinois de Montréal. L’UQAM m’aura donc ouvert deux portes. À 24 ans, même après un baccalauréat, je me retrouve donc à recommencer de nouvelles études. Il faut que je m’y résigne, j’adore l’école, tout simplement parce que j’y ai accès. Nous avons la chance au Québec d’avoir un système qui se souci qu’on soit éduqué, qu’on puisse atteindre notre plein potentiel. À l’UQAM, dans mon programme de langues et dans mon programme sportif, je l’ai très bien ressenti.

Le personnel de langue est très investi dans la réussite des étudiants, mais aussi dans leur ouverture à la langue. On sent une sincérité, une humanité, une humilité, de ces professeurs qui va au-delà d’un cadre pédagogique. Les auxiliaires d’enseignant sont agréables et compétents. Nous avons des heures de tutorats structurés et pertinents à notre progression dans la langue. Plusieurs rencontres parascolaires sont aussi organisées afin que les étudiants puissent bénéficier de plus de contact avec la langue. De plus, il y a annuellement le concours d’élocution japonaise. J’ai eu la chance d’y participé en 2020, juste avant qu’on annonce les mesures de confinement. J’ai donc préparé un texte en japonais avec Kanzaki Sensei. Je l’ai appris par cœur et je l’ai cité devant des Japonais. C’est un des moments les plus fébriles que je n’ai jamais vécu, mais j’étais si fière. Et j’ai senti que mes professeurs l’étaient aussi! La journée avait pour thématique le Japon bien sûr, alors nous avons pu découvrir la musique et la nourriture japonaise.

Wanthida Voraboud-Lecours (baccalauréat par cumul, 2021, comprenant la majeure en langues et cultures modernes, profil anglais et chinois, 2021, et le certificat en langues et culture d’Asie, 2021)

Portrait de Wanthida Voraboud-Lecours tenant une porte-voix à la main pendant une séance de cheerleading

Des polyglottes de diverses origines et de tous âges

Portrait de Benoit Reid.

Je connaissais la qualité de l’enseignement de l’École de langues pour y avoir suivi un programme court en anglais en 2013 dans le but d’accomplir une majeure en littérature anglaise à Concordia. Après Concordia, les nouvelles majeures offertes à l’École de langues m’ont incité à perfectionner mon anglais et à améliorer mon espagnol.

Tout de suite après avoir complété la majeure en langues et cultures modernes, j’ai décroché un contrat de conception et d’adaptation de cahiers pédagogiques pour l’enseignement de l’anglais langue seconde pour la formation linguistique des juges francophones. Les connaissances cumulées à l’École de langues, tant pour le modèle andragogique déployé que pour la qualité du contenu enseigné, me furent essentielles pour accomplir ce contrat.  

Réunissant des polyglottes de diverses origines et de tous âges, l’École de langues est un haut lieu de communication interculturelle et intergénérationnelle agissant comme un précieux laboratoire vivant où la découverte linguistique s’ancre dans l’expérience humaine et l’apprentissage par les pairs.

La générosité, le dévouement, la capacité d’adaptation face aux pires crises de l’équipe professorale garantissent l’efficacité de notre apprentissage. Je remercie toutes mes professeures, tous mes professeurs qui, par leur exemple respectif, ont fait de moi un meilleur enseignant.

Benoit Reid (majeure en langues et cultures modernes - profil anglais et espagnol, 2020; programme court de premier cycle en anglais, 2013)

École de langues

L’École de langues de l’UQAM offre des programmes et des cours d’allemand, d'anglais, d’arabe, de chinois, d’espagnol, de français, d’italien, de japonais, de langue des signes québécoise, de portugais et de russe.

Coordonnées

École de langues
Local V-6410
209, rue Sainte-Catherine Est
Montréal (Québec) H2X 1L2